- EAN13
- 9782021008425
- Éditeur
- Le Seuil
- Date de publication
- 10/2009
- Collection
- L'Epreuve des faits
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Les Soldats perdus. Des anciens de l'OAS racontent
Des anciens de l'OAS racontent
Vincent Quivy
Le Seuil
L'Epreuve des faits
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-
Papier - Seuil 19,30
Ils etaient officier, etudiant, medecin, industriel, ils sont devenus
"activistes" et "rebelles". Aujourd'hui, "terroristes a la retraite", les
anciens de l'OAS livrent leur vie, leurs motivations et racontent le combat
sans pitie pour l'Algerie française. Cette vingtaine de recits croises plonge
dans les coulisses de l'histoire, des debuts du contre-terrorisme aux heures
clandestines de l'OAS en passant par les preparatifs du 13 mai 1958 ou les
dessous du putsch de 1961. Du lieutenant Jean Marie Curutchet, responsable de
l'OAS-Metropole a Pierre Guillaume, le "crabe-tambour", de Jean-Claude Perez,
un des chefs de l'organisation a Armand Belvisi, charge d'assassiner de
Gaulle, de Joseph Rizza, ancien des commandos Delta a Jean-Jacques Susini,
cofondateur de l'OAS, ils forment, eux tous, hauts responsables ou hommes de
base, theoriciens ou plastiqueurs, un portrait de groupe. Celui des soldats
perdus de l'Algerie française. Insurges contre la republique, ils sont
devenus, a l'heure des dechirures, les parias de la Nation. Acteurs puis
perdants de l'histoire, ils ont, de l'exil a la prison, brule leur existence
et subi le deshonneur. Aujourd'hui, entre amertume et apaisement, ils parlent.
*[5e]: Cinquième
"activistes" et "rebelles". Aujourd'hui, "terroristes a la retraite", les
anciens de l'OAS livrent leur vie, leurs motivations et racontent le combat
sans pitie pour l'Algerie française. Cette vingtaine de recits croises plonge
dans les coulisses de l'histoire, des debuts du contre-terrorisme aux heures
clandestines de l'OAS en passant par les preparatifs du 13 mai 1958 ou les
dessous du putsch de 1961. Du lieutenant Jean Marie Curutchet, responsable de
l'OAS-Metropole a Pierre Guillaume, le "crabe-tambour", de Jean-Claude Perez,
un des chefs de l'organisation a Armand Belvisi, charge d'assassiner de
Gaulle, de Joseph Rizza, ancien des commandos Delta a Jean-Jacques Susini,
cofondateur de l'OAS, ils forment, eux tous, hauts responsables ou hommes de
base, theoriciens ou plastiqueurs, un portrait de groupe. Celui des soldats
perdus de l'Algerie française. Insurges contre la republique, ils sont
devenus, a l'heure des dechirures, les parias de la Nation. Acteurs puis
perdants de l'histoire, ils ont, de l'exil a la prison, brule leur existence
et subi le deshonneur. Aujourd'hui, entre amertume et apaisement, ils parlent.
*[5e]: Cinquième
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