- EAN13
- 9782351787052
- ISBN
- 978-2-35178-705-2
- Éditeur
- Éditions Gallmeister
- Date de publication
- 07/11/2019
- Collection
- Totem
- Nombre de pages
- 331
- Dimensions
- 18 x 12 x 2,2 cm
- Poids
- 282 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- anglais
- Fiches UNIMARC
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Pour Sughrue, privé officiant à Meriwether dans le Montana, ce contrat avait tout d’une aubaine. Budget illimité pour écumer les bars des États-Unis à la recherche de Trahaerne, auteur à succès porté sur les fugues autant que sur la boisson. Sitôt l’écrivain débusqué dans un bar miteux de la côte Ouest, Sughrue se trouve chargé d’une nouvelle enquête : il doit retrouver la trace de Betty Sue Flowers, jeune fille énigmatique disparue dix ans auparavant. La compagnie de Trahaerne étant plutôt agréable, notre privé embarque l’alcoolique dans son périple. Mais il ne pouvait prévoir sa fascination grandissante pour la disparue ni les ramifications sans fin de cette affaire où tous semblent sans cesse se jouer de lui.
Le Dernier Baiser, roman emblématique du géant américain James Crumley, met en scène pour la première de ses aventures un détective inimitable qui balade son lecteur aux quatre coins de l’Ouest américain.
Dans la presse
James Crumley pose avec dextérité tous les éléments d'un polar poisseux pour mieux les labourer : un réalisme si strident qu'il vire à l'abstraction monstrueuse, des visages si bien décrits qu'ils en finissent défigurés [...].
LE MAGAZINE LITTÉRAIRE
Ça déborde d’humanité à chaque phrase. On a beau être au fond du trou, il y a toujours un peu de soleil, d’humanité, de poésie. Crumley est un monstre, un type extraordinaire, ses romans me remplissent de joie.
Éric Libiot, FRANCE INTER
Le Dernier Baiser, roman emblématique du géant américain James Crumley, met en scène pour la première de ses aventures un détective inimitable qui balade son lecteur aux quatre coins de l’Ouest américain.
Dans la presse
James Crumley pose avec dextérité tous les éléments d'un polar poisseux pour mieux les labourer : un réalisme si strident qu'il vire à l'abstraction monstrueuse, des visages si bien décrits qu'ils en finissent défigurés [...].
LE MAGAZINE LITTÉRAIRE
Ça déborde d’humanité à chaque phrase. On a beau être au fond du trou, il y a toujours un peu de soleil, d’humanité, de poésie. Crumley est un monstre, un type extraordinaire, ses romans me remplissent de joie.
Éric Libiot, FRANCE INTER
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